Il peut être possible :
- d’avoir un contrat adapté à ses besoins ;
- de changer de fournisseurs ;
- d’avoir toute la chaîne de production chez soi ;
- de séparer les achats de masse du même producteur ou au contraire de les regrouper, comparer chaque produit avec un autre fournisseur et stocker pour diminuer les frais de ports.
Pour les équipements, du matériel durable, testé et approuvé par les salariés est un choix judicieux.
Pour les achats en appel d’offre, penser aux critères d’exigences RSE afin de répondre à des besoins sociaux et environnementaux.
Des potentiels pêle-mêle.
- Si un objet ne sert pas souvent, il est peut-être possible de le louer, l’emprunter ou le mutualiser ;
- pour les achats, penser à la réparabilité, la durabilité, la qualité, les quantités si le stock est possible, les coûts à l’usage (énergie, consommables, maintenance…), le transport, la recyclabilité, l’éco-conception ou encore l’éthique de production ;
- préférer les objets passifs plutôt que consommant de l’énergie. Plus un objet est simple, plus il est réparable ;
- pour les équipements, du matériel durable, testé et approuvé par les salariés est un choix judicieux ;
- la récupération de seconde main peut permettre d’accéder à du matériel de meilleure qualité qui ne serait pas accessible financièrement sinon. Passer par un reconditionneur de métier avec une garantie sera une bonne approche ;
- éviter absolument les matériels à usage unique ;
- lorsque c’est possible, éviter les matériels ayant des consommables ;
- pour les produits, on peut penser aux recharges des consommables, aux produits naturels non impactants sur la santé et l’environnement ;
- pour les machines regarder :
- la production (nombre d’éléments produits, la vitesse…) ;
- l’efficience (la consommation d’énergie comparée à la production…) ;
- les coûts à l’usage (énergie, consommables, maintenance…).
Dans le cadre d’une nouvelle technologie, on n’a parfois pas assez de recul pour bien connaître les avantages et inconvénients. Il vaut mieux avoir une période d’essai ou les éviter. Si cela s’avère réellement intéressant, il est possible :
- de se renseigner auprès d’utilisateurs en évitant les biais (engouement trop prononcé pour les technologies, personne non qualifiée, personne n’ayant pas le même usage ou intensité…) ;
- de croiser les données techniques sans conflits d’intérêt (éviter les données uniquement commerciales).