Ce courant a connu une forte popularité sur les réseaux sociaux à partir de 2016. Des aspects comme le surcontrôle, le matérialisme ou la possession de peu d’objets, mais onéreux ont été des critiques récentes.
En effet, des formes de « consumérismes minimalistes » ont eu lieu, suite à des mises en avant de produits dans des vidéos dites « lifestyle ». Des vidéos faites par des « influenceurs » mettaient en avant des produits parfois sponsorisés, parfois directement vendus avec une commission sur leurs sites.
Les réappropriations de démarches éthiques par des personnes ou entreprises qui se détournent du sens originel (consciemment ou non), ne sont pas rares. Il y a cependant un sens dans la pratique première.
De plus, adopter une pratique n’est souvent pas une finalité en soi. Cela nous ouvre les yeux sur de nouveaux choix, de nouvelles contraintes que l’on n’avait pas aperçues.