La sectorisation des pensées en thématiques (eau, électricité, habitat naturels...) empêche une vision globale et la compréhension des interactions entre les domaines.
Pourquoi séparer l’eau de sa consommation, de son stockage ou encore de sa pollution ? Comme nous l’avons vu à l’école, l’eau est un cycle. Un problème à un moment génère un goulot d’étranglement.
De même, pourquoi considérer l’eau comme un simple fluide en circulation ? L’eau nourrit les sols, les être vivants, participe à l’évapotranspiration. La mauvaise gestion des éléments connexes (sols, écosystèmes et climat entre autres) impliquent des phénomènes brutaux, durables ou intenses.
L’intérêt de la sectorisation réside uniquement dans le fait de voir où l’on peut avoir une action positive ou moins néfaste pour l’environnement et / ou le social.
Pour avoir une sectorisation raisonnable, il est essentiel de partir d’un tout, le plus exhaustif possible, permettant de filtrer ce qui peut s’appliquer dans notre situation. Ainsi, la sectorisation qui n’est qu’une perception psychologique limitante, peut avoir du sens si on considère toutes les possibilités d’actions en amont.